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365 chroniques ridées depuis un bol de thé amer

21 janvier 2008

Ceci n'est pas une chronique ridée

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20 janvier 2008

Tome II

Voilà un extrait du dernier courriel reçu de Fleurdebeurre.

"J'ai fait éditer sur Lulu le tome 2 des 365 chroniques, même couverture mais avec 489 pages ! ! donc un peu plus cher.

Toujours les mêmes conditions à l'achat, je ne touche rien, tout est pour Lulu, par contre à l'enregistrement je prends 2.50 € mais la plupart du temps, il n'y a pas d'enregistrement, les gens achètent plutôt.

A la fin de l'aventure je vous tiendrai au courant et si il y a quelques sous sur mon compte on l'enverra à une ONG. OK ?

J'espère que cela restera un bon souvenir de 2007, en tout cas, pour moi, je me suis régalée avec ce feuilleton de chaque jour (ou chaque soir) très consciencieusement écrit.

Amicalement

Fleurdebeurre."



http://lulu.com/
“acheter”
dans vente : “livre”
“développement personnel”
et là vous allez demander “365 chroniques ridées depuis un bol de thé amer”

Si certaines éprouvent des difficultés à commander, j’ai dit que je pourrais commander plusieurs exemplaires et les faire suivre.

Mon adresse courrielle :
papistache@laposte.net

1 janvier 2008

Le thé de Tilu

pastichetilu

1 janvier 2008

Thé (?) de Caro-(carito)

To be or not to be

Coffee or not coffee

Tea or not tea

                                                       That is the question, dear Papistache…

 

Odeur des thés de mon enfance…

Caramel ou vanille

A l’ombre des rives rhénanes en fleurs.

Cadeaux de correspondances inter-scolaires.

 

Je ramenais des terres du sud, un goût prononcé

Pour le café, son grand rival.

J’entends la foule qui gronde.

Hérésie sur les ondes des chroniques…

 

Ne lui jetez pas la pierre !

A mon breuvage tant aimé

Sans lui, sans doute aucun,

Mon palais, adepte des plaisirs épicés,

Aurait un jour ou l’autre

Dédaigné les mièvres goûters adolescents.

 

Je cultive ces quelques travers :

De l’aube à la mi-journée bien avancé,

La couleur de mes boissons

n’est que brun foncé.

 

Mais dès que les minutes s’étirent,

Ma bouilloire chante,

Et je rêve de samovar,

D’un train traversant les steppes,

Devant un thé russe,

Atteignant même la lointaine Chine,

Au milieu des effluves fumées

Que l’on déguste

Là où le train de Sibérie

Achève sa course.

1 janvier 2008

Le thé de Kris

À la manière de Papistache

Chuuuut!
 
Ils dorment.
      Tous les deux.
             Il est 6h02.
      L'écran est noir.
L'eau est froide.
 
   Finis les chiffres romains.
       Le pari est réglé. Exit. 2008.
              Son thé sera meilleur.
                   Du moins veut-il le croire.
 
Mais le cliquetis des cuillères lui manquera.
Tous ces commentaires suscités par son repas du matin,
- quel  temps fou pour les lire et y réagir -
comme ils agitaient gaiement son eau tiède!
 
Même ces textes quotidiens,
   longuement mijotés ou spontanément servis,
           souvent présentés comme des pensum,
   ont, en vérité, stimulé la matière grise
sous son crâne chauve.
 
En s'en donnant à coeur joie,
il nous a fait rire à gorge déployée.
Sa plume avait du poumon
quand il coupait les cheveux en quatre.
De quelle main de maître
usait-il des pieds de mouche !
La déesse aux cent bouches l'a embrassé,
lui qui n'a d'yeux que pour Mamoune.
 
Restez dans ses bras
    et dans ceux de Morphée,
       béat, le sourire aux lèvres.
    La langue vous démange déjà,
c'est mon petit doigt qui le dit.

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1 janvier 2008

Le thé de Val

Oh ! Que  je savoure les nuits rayonnantes !

- Etends-toi, Gracieuse-Muse ! La nuit est tombée. Toi qui n’aimes pas dormir dans le noir complet, JE T’OFFRE UNE LUMIERE NATURELLE POUR ECLAIRER TES REVES.


- La pleine lune me l’offre déjà !

- Douce-Compagne-Un-Peu-Lasse ! Je la décroche pour toi ! Couche-toi ! Sud-ouest, une autre source diffuse de la lumière. JE TE L’OFFRE !

- C’est le réverbère communal.

- Vénus-Encore-Debout, je le vole pour toi ! Regarde voler les insectes brillants. J’en vois sept, quatre lucioles, trois vers luisants. LEURS LUMIERES JAUNES, JE TE LES OFFRE ! 

- Ne va pas leur faire de mal !

- Epouse-Si-Svelte-Sur-Tes-Pieds, pose ton corps sur ce lit et je leur rends leur liberté. Viens voir ! la chouette au regard étincelant survole le jardinet.  Ses yeux m’éblouissent presque autant que les tiens. Elle a revêtu sa robe brune, quelle élégance! Vois comme elle éclaire la nuit ! Quelle phosphorescence ! Sa vision est tronquée mais je te l’assure, elle éclaircit la nuit pour toi ! JE T’OFFRE LE FRUIT DE SA CHASSE !

- Pense à sa famille, qui attend son retour pour dîner. Veux-tu la priver de  provisions ?

- Regarde la lueur des étoiles qui parvient jusqu’à notre chambre. C’est un éclat d’une pureté rare qu’émettent les astres, cette nuit. JE T’OFFRE CHACUNE D’ELLES !

- C’est un spectacle dont je jouis chaque soir. Laisse-les en place que nous en profitions encore longtemps.

- Alors, je vais tirer la lourde lampe du salon jusqu’à la chambre, que ses tamisées lueurs  se lancent à l’assaut de ton âme sous la couette. Oh ! Bonsoir ! Pas encore couchée à cette heure tardive !  Comment vous portez-vous...

- A qui t’adresses-tu donc ainsi ?

- Madame Yvonne regagne sa maisonnée, son chat sous le bras. Elle a déjà revêtu son pyjama…

- Epoux-tout-nu ! Mais tu aurais pu au moins débrancher la lampe qui t’éclaire le corps et que tu as gardée par-devers toi !

- Oh ! Que j’offre une nuit rayonnante à Madame Yvonne !

- Orgueilleux ! Allez, éteins la lumière !

1 janvier 2008

Le thé de Claire (aux bisous)

claire

1 janvier 2008

Le thé de Janeczka

Automne et thé

Mon thé infusé
Une feuille se détache
- L'automne s'annonce

Mon thé avalé
Des feuilles s'envolent
- L'automne débute

Au fond de ma tasse
Les feuilles forment des symboles
- L'automne disparaît

1 janvier 2008

Le thé de Miss-Ter

        Ponctualithé

        Assiduithé

        Productivithé

        Innocuithé

        Sagacithé

        Tarabiscothé

        Allithération

        Complexithé

        Hilarithé

        Eternithé....

Nenni

thé éther

Ni thé gras

granité

ni dit vain thé

            divinité

ni thé modéré

modernité

ni thé serré

sérénité

Sérénité

Dans l’attente

Des douze coups....

Douze...

Je deviens ventouse

Onze

Ou m’incruste comme bronze

Dix

Dans cette belle bâtisse

Neuf

Non ! Elle n’est pas si neuve...

Huit

Les carottes sont cuites !

Sept

Bientôt le poète

Six

En coulisse

Cinq

S’inclinera

Quatre

Retour vers l’âtre

Trois

C’est l’effroi

Deux

Des visages cafardeux

Un

.................... Et c’est la Fin.....

Mieux vaut quitter la fête au dessert qu'en fin de soirée,

Quand plus personne n'est là, ou en piteux état,

Quand les lampions déteignent,

Quand les femmes bâillent

Et que ne subsistent plus que des souvenirs. .......

                        Affectés

                            Dépités

                                Inanités

                                    Epouvantés

                                            Une très bonne année à Vous Papistache.

1 janvier 2008

Le thé de Kloëlle

pastichekloelle

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