3 février 2007
Thé XXXIV
J’ouvre la porte de l’antique armoire. Presqu’à l’aveugle, je tends la main et ne rencontre que la cotonnade provençale qui recouvre la vieille planche cintrée par les ans. Ma main aurait dû rencontrer la faïence des bols au garde-à-vous. La cotonnade,...