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365 chroniques ridées depuis un bol de thé amer
14 septembre 2007

Thé CCLVII

Oh ! Punaise ! Ecrabouillée !
Je la tenais dans mes bras, cette nuit.
                                                                Douce.
                                                                            Ferme.

Pan ! Ecrabouillée !


Une idée de chronique comme jamais !
        Née d’un rêve.
                Au carrefour du rêve et de la réalité.
                        Les meilleures sur l’échelle Papistachienne (de vie) !

 
            Elle glisse comme une anguille.
        Je crois la saisir.
Envolée !


                                                                        Une de secours ?
                                                                        Pas même.
                                                                        Tarie la citerne à chroniques.
                                                                        Il faut broyer du neuf.

Pas le temps de pondre un abscons rébus. Celui que j’ai promis à certaine ravaudeuse de doudous mérite une attention soutenue.

Mais une autre qui ravaude des textes qu’elle n’a pas tricotés me suggérait  de livrer la composition de mon mètre à évaluer les billets.

                    Deux ravaudeuses parmi mes lectrices !
                    Pas mal pour une profession sinistrée.

Songer à inscrire ce petit bloc-notes dans la rubrique travaux d’aiguilles.


                            Oh ! Une anecdote.
                            Je peux ?
                            C’est rare !
                            Juste aujourd’hui !

                            Merci !

Nous étions en vacances, Epouse-Au-Bras-De-Son-Epoux à mon bras et nous déambulions dans les rues d’une ville touristique. Quartier des galeries d’art. Les vieux amoureux aiment penser qu’ils dépensent l’argent qu’ils n’ont pas en tableaux, lithographies et autres sculptures.

Un couple, deux hommes, sortent d’une galerie.

— "Oh ! Moi ! C’est facile. Ou j’aime, ou je n’aime pas !
— Et là ?
— Mmmm ! Entre les deux !"

Papistache noierait-il le poisson dans son bol — bon, ça y est, j’ai placé le mot de trois lettres — de thé ?

Qu’est-ce qu’une bonne chronique ?


Le nombre de commentaires qu’elle suscite ?
Non ! Parce qu’alors les rébus figureraient au premier rang.
Et non, parce que les commentaires n’interviennent qu’après l’écriture.


Sa longueur ?
Puéril !

Son sérieux ?
Vous en avez une à citer ?

Sa spontanéité ?
Je les relis toutes. Je les polis. Je les pétris.

Sa légèreté ?
Il suffirait d’un simple clic pour qu’elles disparaissent. Comme les pauvres sujets au vertige (les vertigineux, dit Madame Yvonne) je vois mon front se couvrir de perles de sueur chaque fois que je croise, dans l’espace administrateur, le bouton “ Supprimer ce blog ? ”. Un moment d’inadvertance, de fatigue, d’émotion et clic ! Alors, laquelle la plus légère ? Toutes envolées !

Sa vérité ?
Ah ! Ah ! Ah ! Ah ! Ah !

Sa rigueur ?
Penser à chercher la définition dans le dictionnaire.

Non, c’est une vaine quête. Peut-être celles où j’ai parlé de la gare de Perpignan ?

Et encore ?

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Commentaires
M
mais c'est donc vrai qu'il n'y a que des femmes qui commentent ici !!??..
T
Claire , on pense à vous.....revenez vite pour prendre votre tour de com...
V
Mince,<br /> J'espere que Claire n'a rien de grave et qu'elle sera vite en forme.<br /> Aller les filles, on encourage Claire :D !!!
P
Eventuellement, abstenez vous de tomber malade !<br /> Y'a pas d'obligation !
P
Merci.<br /> Ne tombez pas toutes malades en même temps.<br /> Claire, la première lectrice happée par ce bloc-notes, celle qui emprunte à l'occasion les routes percheronnes, celle qui ne veut pas que son blog soit divulgué, entre à l'hôpital.<br /> Son caractère de cochon(sic) va lui permettre de revenir en forme après cette épreuve.<br /> Echelonnez vos absences, une chronique sans sel serait une chronique sans vos visites, c'est à dire fade.
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