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365 chroniques ridées depuis un bol de thé amer
20 juillet 2007

Thé CC

            Deux cents thés depuis le 1er janvier !
            Deux cents thés matutinaux.
            Les autres ne comptent pas pour ces chroniques.

Deux grammes de thé noir chaque petit matin.
Deux fois deux cents = quatre cents.
Quatre cents grammes de thé infusés.
Deux cents pages de chroniques !
Écrites à la main,
Puis tapées, pieusement, sur le clavier.
Quatre cents grammes de papier !
Quatre cents ÷ deux cents = deux
Deux grammes de papier par chronique.

            Une chronique à deux grammes.
            Une chronique à deux balles !
            A deux bols !
            A deux bols !
            La chronique à deux bols s’emballe.
            Cent balles ! La chronique à deux balles qui s’emballe.
            Une chronique à cent balles.
            Deux cents pour vingt mille balles.
            Vingt mille balles de thé ballottés.
            Ballottées balles de thé !

Sans bol, plus de chronique.
Sans bol, plus de thé !
Sans bol, pas de bol, le thé s’évade.
Le bol se vide ! Les bols se vident.
Le mien, le sien !
Epoux au bol, épousé au vol, vide son bol.
Epouse au bol, épousée, ça c’est du bol, vide son bol.

            Une chronique à deux bols.
            Deux cents chroniques pour deux bols.
            Deux cents chroniques d’un authentique fol.


Fol en thé.
Chroniques hantées par le thé.
Bouillant thé.
Bouillant thé ébouillanté !

            Souci chronique de l’année :
            Pondre une chronique pour le thé.
            Chaque matin attelé à sa chronique.
            Chaque matin  tôt levé.
            Chaque matin cogité.
            Pas de billet ! Pas de thé !
            Jamais privé. Privauté !

Chroniques chantées.
Hommage au thé !
Oh ! Mage au thé !
Oh ! Majesté !

            Deux cents chroniques à lire.
            Deux sans crocs ni queue à lire !
            Sans crocs ni queue !
            Sans queue ni tête !

Deux cents
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            Vous pouvez vérifier.

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Commentaires
V
"c'est le billet du Papistache qui se trouve un peu sec devant sa page blanche" :<br /> Souvent on est bien meilleurs dans l'impro !!!
P
Merci à celles qui déposent un commentaire sur la table de la cuisine en repartant.<br /> Il faudra bien qu'un jour, ou peut-être ou une nuit ?, je compte les commentaires.<br /> Oui, je devrais trouver quelque chose d'amusant à faire avec les commentaires.<br /> Je ne signerai pas majesthé, en fait le billet de ce matin c'est le billet du Papistache qui se trouve un peu sec devant sa page blanche. Avec ce genre de billet c'est l'imagination du lecteur qui fait tout le travail. Et vous en avez !
O
Deux cent fois mercis, Papistache, pour ces toujours délicieux thés... Vous devriez peut-être à l'avenir signer Majesthé? ;-)
V
Bon, ben..<br /> J'ai laissé un comentaire à chaud ce matin...<br /> Pis j'sais pas pourquoi, il n'ets plus là!<br /> Non, Papistache ne l'a pas censuré ... pfff j'ai fait le tour de mes blogs ce matin et j'dois tout recommencer car aucun de mes commentaire n'ait passé sur aucun des blogs grrrr!<br /> <br /> Bon Papistache, je vous disais quoi déjà, ce matin?<br /> Je vous disais que votre chronique était une jolie chanson. <br /> Qu'elle me faisait penser à la valse à mille temps (et je dois pas être la seule)...<br /> Je vous disais aussi que vous étiez un incroyable jongleur .. de mots!<br /> Un cuisinier qui aime mélanger les saveurs, les lettres... et que c'est bon :D !!!
F
Papistache c'est du beau travail que de compter deux cents fois deux cents, cela fait 40.000 théoriquement.mais pratiquement cela fait 400 mots pour 200 lignes si je ne me trompe.
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