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365 chroniques ridées depuis un bol de thé amer

24 septembre 2007

Thé CCLXVII

Le monde vu depuis la hauteur d'un enfant ! Voici des années que je ne m’étais mis à plat ventre sous la table du salon pour jouer à cache-cache derrière une chaise.J’y suis resté plus longtemps que prévu. Coincé. La nature a bien prévu les choses. Devenir...
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23 septembre 2007

Thé CCLXVI

Thé CCLXVI
22 septembre 2007

Thé CCLXV

Thé deux cent soixante-cinq.Thé deux cent soixante-cinq. Les militaires appelés fêtaient le “Père Cent” le “Perd Cent”.A partir de ce jour, le compte à rebours s’effectuait.Et les jeunes excités braillaient, chaque matin, chaque après-midi, chaque soir,...
21 septembre 2007

Thé CCLXIV

Quand je me rends au travail, mon trajet coupe une route rigoureusement orientée est/ouest ou vice-versa, selon qu’on est Parisien sur la route des vacances ou Parisien de retour de sa maison de campagne. Aux équinoxes, le soleil se lève donc bien dans...
20 septembre 2007

Thé CCLXIII

Une grosse limace orange s’est égarée au jardinet. Je n’en ai plus vu depuis des années. De petites qui se glissent sous une feuille de buis tombée à terre. Oui ! De jolies gourmandes qui dévorent les feuilles des hostas. Yes ! Mon premier funkia vient...
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19 septembre 2007

Thé CCLXII

Jamais mon thé ne m'a paru si amer que ce matin ! Et c'est moi-même qui y ai pressé la ciguë !
18 septembre 2007

Thé CCLXI

Chronique vulgaire ! J’essaie. Je ne garantis rien. Déjà, ce ne sera pas une vulgaire chronique à l’eau de rose ni à la rosée du matin. Non ! De la chronique bien grasse. De celle qui laisse des yeux dans le bouillon. Aussi vulgaire que les autres étaient...
17 septembre 2007

Thé CCLX

Samedi, le couple qui, dimanche, marche main dans la main sur de verdoyants chemins, arpente les rues commerçantes du chef-lieu. Leurs chaussures s’usent. Leurs vêtements se démodent. Leur réfrigérateur se vide. L'armoire aux thés s'épuise. Les anniversaires...
16 septembre 2007

Thé CCLIX

Thé CCLIX
15 septembre 2007

Thé CCLVIII

Je suis là, devant le clavier, et mes doigts sont gourds.Deux heures pour écrire une ligne. Les graphèmes tournent en boucle, s’enchevêtrent, peinent à s’assembler.Je biffe tout ce que j’écris. Et je n’écris rien. J’en connais la raison.Épouse-Grillon-Du-Foyer...
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